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Les phénomènes thermiques accompagnant la contraction musculaire – les voies de régénération d’ATP

  • II- Les phénomènes thermiques et métaboliques accompagnant la contraction

    1- Les phénomènes thermiques accompagnant la contraction musculaire

    Document 7 :

    En 1920, Hill mesure le degagement de chleur accompagnant le travail musculaire. La figure a mmontre le dispotifeperimental utilise alors que la figure b donne un moyogramme et l’enregistrement thermique correspondant.


    A- Principe d’enregistrement :


    B- Resultats :

    Remarque : l’experience de Hill etant refaite en milieu anaerobie, on constate que le muscle se contracte et que le premier degagement de chaleur (chaleur initial) est senseiblement identique a celui de l’enregistrement precedent. Mais le second degagement (chaleur retardee) est pratiquement nul et l’analyse chimique permet de deceler une augmentation de la concentraction musculaire en acide lactique.

    Suite à une contraction musculaire il y a un dégagement de chaleur qui se fait en deux temps :

    – Une chaleur initiale : qui se dégage rapidement au cours de la secousse musculaire. Elle comporte une chaleur de contraction et une chaleur de relâchement.

    – Une chaleur retardée qui se dégage lentement après la secousse.

    L’absence de dégagement de chaleur retardée en milieu anaérobie prouve que la respiration cellulaire en constitue la source, alors que l’origine de la chaleur initiale est la fermentation lactique.

    2- Phénomènes chimiques accompagnant la contraction musculaire

    Document 8 :

    On analyse le sang a l’entree et a la sortie d’un muscle au repos et apres une activite musculaire. On obtient les resultatspresentes dans le tableau ci-dessous:

    Remarque : mesures en 1 heure par Kg de muscle

    L’experience montre que le muscle :

    – Bénéficie d’une augmentation du débit sanguin qui permet l’intensification des échanges lorsqu’il est en activité.

    – Utilise beaucoup plus de glucose et d’O2 et produit d’avantage de CO2 lorsqu’il est en activité.

    – Ne consomme pas les protides et les lipides mais utilise uniquement le glucose que ce soit en activité ou au repos.

    Ces phénomènes chimiques traduisent l’oxydation du glucose qui produit l’énergienécessaire à la contraction musculaire.

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